Voyager au temps de la Covid

La Covid a changé bien des choses dans le monde et dans nos habitudes.  Le voyage n'en est pas en reste. Pour les accro du voyage, comme moi, les deux dernières années ont été difficiles. Certains ont continué de voyager internationalement, d'autre ont mis le tout sur pause, le temps que les processus liés aux voyages se simplifient.

Je fais partie de cette deuxième catégorie. J'ai juste recommencé à voyager en avril dernier, moment où le test négatif pour entrer au pays a été retirée. À ce moment je suis partie pour une escapade repos au soleil sur les magnifiques plages de Cuba. Mais quel bonheur que ce fut de reprendre l'avion après 28 mois!! Tellement que je récidive avec un voyage un peu plus exotique et certainement plus émotif cette fois-ci.

Mais voyager, c'est toujours pas ce qu'il y a plus simple.  Dans mon cas, j'ai vécue les règles changeantes; test requis pour entrer au pays et un second pour le bateau, ajout en cours de route d'un test pour commencer la partie terrestre du voyage, puis retrait du test pour entrer au pays et enfin ajout de la possibilité d'être sélectionné pour un test aléatoire au retour dans le pays ainsi qu'ajout du port du masque obligatoire à l'intérieur; obligation qui avait été retirée au moment de la réservation. Et ça c'est sans compter, les formalités comme l'auto-déclaration de l'état de santé à divers moment et via plusieurs applications et l'application ArivCan, etc. etc. etc. Clairement l'assurance annulation et médicale est un must dans le contexte actuelle des choses.

Bref, il faut pas avoir trop peur de la paperasse, de l'informatique, et de la possibilité de voir, à pleins d'étapes, le plan changer parce que le résultat du test n'est pas ce qu'il devrait. Une chance que j'avais pas un passport qui arrivait à expiration en plus!

Ensuite, il y a le stress des bagages... arriveront-ils à destination en même temps que nous? Il y a 18 ans jours pour jours, mon bagage ne revenait pas à Montréal sur le même vol que moi, j'en suis encore traumatisée à ce jour (et une meilleure voyageuse grâce aux leçons apprises).  Mais heureusement, la technologie a bien avancé depuis le temps. Je me suis donc équipée d'un AirTag pour pouvoir localiser mon bagage en cas d'ennuie. Ça me le redonnera peut-être pas instantanément ou même plus vite mais au moins je saurai peut-être où il se trouve.

Détrompez-vous, je ne me plains pas, je suis très consciente que je fais partie des privilégiés qui ont la chance de pouvoir voyager. Je fais juste faire état de la situation pour la prospérité... comme tout le monde se souvent d'événement comme la crise du verglas, la vie avant l'internet, etc. maintenant le monde se souviendront de ce que c'était de voyager dans le temps de la Covid...

Bref, je vous tiendrai informés à savoir si on s'est rendu à destination tout comme nos bagages!

On vas-tu souper à Havre-St-Pierre?

Dans la catégorie petites folies mémorables, ma mère et moi ne laissons pas notre place. Je n'ai qu'à penser à notre road trip pour aller dans le Maine en passant par les Iles-de-la-Madeleine, à notre tour de la Gaspésie en 2 jours pour voir "le trou" pour avoir pleins de beaux souvenirs et un sourire dans le visage.

Et bien notre plus récente folie qui entre dans cette catégorie est une envie de pétoncle qui nous a amené à se rendre à Havre-St-Pierre pour souper.

Nous étions tout bonnement en train de souper à l'Isle-aux-Coudres quand ma mère a dit qu'elle avait le goût de pétoncle de ces temps-ci et qu'elle tentait de se souvenir où nous en avions mangés des bons.

Le premier endroit qui m'est venu en tête est le restaurant "Fisherman's Catch" à Wells dans le Maine.  Leur plat de pétoncle frits est mémorable.  Mais ce n'est pas ce type de plat qu'elle avait en tête.  

Le deuxième endroit qui m'est venu en tête c'est le restaurant "Chez Julie" à Havre-St-Pierre où nous avions mangé un bon plat d'homard et de pétoncle lors de nos vacances en motorisé à l'été 2019.  C'est celui-ci qu'elle avait en tête.  Elle s'est donc questionné à haute voix à savoir si c'était bien loin de l'Isle-aux-Coudres.  Chose à ne pas faire avec moi!

À la fin de notre repas, nous avions, des réservations pour un hôtel à Baie-Comeau et un gite à Havre-St-Pierre, nous partions donc le lendemain pour un autre road trip mère-fille.

Le souper à Havre fut un peu décevant (homard réchauffé et pétoncle un peu trop cuite) mais les 3 jours de routes nous ont permis de faire le plein de beaux paysages et de beaux souvenirs. Voici donc quelques souvenirs en vrac de ce voyage.

Là où tout a commencé.
Vue d'une fenêtre du restaurant
Corylus à l'isle-aux-Coudres
(ce n'est pas une peinture mais le vrai paysage)

Panoramique de la Baie à Tadoussac et 
paysage pour notre diner à l'aller

Souper jour 1
Plat de tartare de saumon au restaurant de l'hôtel
Le Grand Hotel à Baie-Comeau

Arrêt diner dans un parc de Port-Cartier

Panoramique de la plage à quelques pas de notre gite à Havre-St-Pierre.

Souper jour 2
Plat de fruit de mer du resto Chez Julie 
que nous avons partagée à deux

C'est beau la Côte-Nord!

Souper jour 3:
Entrée de pétoncle du restaurant 
Pêcheries Manicouagan à Baie-Comeau

Souper jour 3:
Tartare de thon du restaurant 
Pêcheries Manicouagan à Baie-Comeau

Recherche d'une solution à la chaleur

Comme j'en ai déjà parlé, le plus gros enjeux que j'ai eu à présent avec ma Dodgefalia est la gestion de la température.  J'ai donc continué ma rechercher d'une solution économique à ce problème.

J'ai tenté quelques options sans grand succès. D'abord l'abris Napier de type auvent à mettre sur le hayon.  Celui-ci a été testé à l'été 2021 et a été discarté pour plusieurs raisons.  La principale étant que je ne pouvais pas fermer le hayon sans devoir tout désinstaller; pas très pratique quand vient le temps de sécuriser le contenu du véhicule.  La seconde était la complexité à fermer le tout si besoin était (par exemple s'il venait à faire trop froid la nuit.  Il fut donc vendu au printemps.

Abris de type auvent

J'ai ensuite essayé la tente de hayon de Napier.  Autre échec! Beaucoup trop lourde et complexe à monter seule.  De plus, mon hayon n'ouvrait pas bien.  Était-ce une erreur de modèle ou simplement un ajustement déficient, je ne suis pas trop sûr et rendu là, ça ne me tentais plus de le découvrir.  Celle-ci fut donc retourné au magasin.

Tente de hayon

C'est ensuite que je suis tombé sur un vidéo que j'ai trouvé très intéressant. Le seul petit problème que j'avais; les Grand Caravan ne viennent pas avec un toit ouvrant.  Il m'est donc venu l'idée d'utiliser des gros corroplast noir que j'avais acheté avec l'idée de faire des moustiquaires pour les portes latérales pour faire tenir les ventilateurs en question.

C'est donc muni de ma patience légendaire (veuillez lire ici l'ironie) et d'un exacto que j'ai passé pas loin d'une journée avec l'aide de ma mère à tenter de faire un découpage le plus précis possible de la forme de la fenêtre dans un de mes corroplast.  Tout une expérience qui a fini dans la frustration.  Après tout ce temps passé à tailler la forme, faire une insertion pour le ventilateur, installer les aimants etc., je me suis rendu compte que c'était définitivement pas l'idéal.  D'abord le tout était pas super ajusté à la fenêtre (je ne suis pas une fille de précision) ce qui permettait l'entrée de petits insectes non désirés.  Puis, surtout, le corroplast était gros et encombrant à trainer pour un voyage lorsqu'il n'était pas dans la fenêtre.  Retour à la case départ de l'idéation.

C'est donc là que j'ai pensé utiliser ce que j'avais déjà. Mes "moustiquaires" fait à partir de protège gouttières. J'ai donc commencé par faire le test avec 2 ventilateurs.  Le résultat semblait positif, mais le seul petit hic, c'est que je ne pouvais plus remonter ma fenêtre au bon niveau pour bien tenir le moustiquaire puisque le ventilateur était trop gros (il ne dépasse pas le protège gouttière, mais celui-ci doit entrer un peu dans le haut de la fenêtre pour bien tenir ce qui n'était plus possible.

Installation des 2 premiers ventillateurs

J'ai donc tenté de commandé de plus petit ventilateurs. Ceux que j'avais était des 120mm, et il y avait des 80 mm disponible.  Sur réception, je me suis rendue compte que c'était une fausse bonne idée comme on dit... Beaucoup trop petit, l'efficacité en serait définitivement affectée. Ils furent donc retourner aussi rapidement qu'ils furent commandé et j'ai plutôt rechercher une autre solution permettant l'utilisation des plus gros ventilateurs.

120 mm vs 80 mm

Et la solution est venue de mon premier essaie avec les ventilateurs, c'est à dire avec le corroplast.  J'ai décidé de visser une extension fait à partir de corroplast aux haut des protèges gouttières.  Celle-ci s'insère donc dans le haut de la portière à l'endroit où la fenêtre entre dans la portière, ne paraisse pas du tout de l'extérieur du véhicule et à peine de l'intérieur.  Pour bloquer le reste de la fenêtre des regards indésirables, pour le moment, j'ai encore une fois recycler mes restes de corroplast, même si une version en rideaux serait plus pratique car elle prendrait moins de place lorsque non utilisé.

D'un côté, les ventilateurs sont branchés sur ma batterie Jackery.  De l'autre, pour éviter que le fil passe d'un côté à l'autre de l'habitable, les ventilateurs sont branchés sur une petite batterie portative (de celle que l'on retrouve près de la caisse d'un certain magasin avec un nom patriotique + pneu en anglais 😅

Je tenais à garder le principe des aimants pour permettre de pousser l'air de l'habitacle vers l'extérieur ou de tirer l'air de l'extérieur vers l'intérieur à ma guise et selon la température ambiante.  Pour solidifier ceux-ci qui n'était visser que dans le moustiquaire, j'ai donc fabriqué de petits washer à l'aide du corroplast.  J'aurais pu acheter de vrai washer, mais en trouver qui était de la bonne grosseur et qui n'étaient pas attirer par les aimants ne me tentais pas trop. En plus, j'avais plus qu'assez de corroplast sous la main.

Il restait donc à tester le tout pour en confirmer l'efficacité. C'est parfait j'ai des vacances qui s'en venait!  C'est donc sur l'Isle-aux-Coudres que j'ai pu tester mon installation et j'en fut particulièrement satisfaite même si ma petite batterie portative est pas assez puissante pour alimenter les ventilateurs toute une nuit.  Bon! C'est sur que l'Isle-aux-Coudres fin juin, c'est pas l'endroit le plus chaud. J'ai donc hâte de voir en période de plus grande chaleur ce que ça donnera.  Mais déjà je pouvais voir l'efficacité d'amener l'air frais de dehors dans le véhicule, ce que mes autres installations ne permettait pas tant jusqu'à maintenant.

Les points négatifs de l'installation: 

1) lorsque j'ouvre et ferme les portes coulissantes avec les ventilateurs installés ils débarquent.  Veux, veux pas ils ne tiennent que par l'attraction d'une petite vis séparer par un caoutchouc à l'aimant.  Si je mettait un washer sur les vis des ventilateurs, ça tiendrait peut-être mieux.

2) Comme j'ai dû faire une extension aux protèges gouttières, elles arrivent plus bas dans la fenêtre. Lorsqu'il pleut, mes déflecteurs sont donc moins efficaces et si la pluie est assez forte, il pleut en dedans. Il faut donc retirer l'installation des fenêtre pour pouvoir les fermer (moins agréable à 4h45 le matin).  Au moins, c'est possible de le faire de l'intérieur du véhicule.  Ce qui est moins pire.

Bref! Pour l'instant je trouve que ça répond à un besoin.  J'ai dormi très confortablement les 5 nuits que j'ai passé dans le véhicules, dont 3 où il était placé au gros soleil le jour.

Des vacances par temps très chaud (2e partie)

Bon, j'ai finalement décidé de terminer le récit du road trip de 2021. Alors voici ce que j'avais commencé à écrire en août de cette même année et que je termine aujourd'hui, presqu'un an plus tard....

(Partie rédigée en août 2021)

Clairement, la vie a repris son cours et le récit de la 2e partie en a été retardé. Il est donc temps de reprendre l'écriture de celui-ci....

Quand nous nous sommes laissés lors du récit de la première partie, nous allions reprendre la route en direction du Saguenay Lac-Saint-Jean.

Lors de cette deuxième semaine de vacances, la température semblait vouloir descendre de quelques degrés. Nous avons donc pris la direction de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Je dis "nous" puisque nous sommes partie en caravane.  Ma mère et son conjoint avec leur motorisé et moi avec ma Dodgefalia.

Pourquoi le Saguenay-Lac-Saint-Jean? Bien parce que j'avais quelques activités qui me tentait dans cette région et parce qu'elle semblait un peu moins envahie que d'autres régions telles que la Côte-Nord et la Gaspésie en ce deuxième été de pandémie.

(Partie complétée en juillet 2022)

Ville de LaBaie

Dans les endroits où nous sommes arrêtés tout le long de ce court périple, il y a eu un court arrêt à la ville de  LaBaie, pour un classic diner au casse-croute Boivin. Il y a rien comme un hot-dog et une poutine pour avoir le feeling d'être en vacances.

Ça c'est du diner gastronomique

Chutes à l'ours - Normandin

Un de mes endroits préférés lors de ce voyage fut le camping des chutes à l'ours à Normandin.  Ce n'est pas tant pour l'endroit où nous étions stationné que pour la magnifique chute qui se trouve juste à côté.

Bien qu'il était possible de profiter de la vue d'une partie de celle-ci à seulement quelques pas de notre terrain, il est également possible de faire une courte randonnée d'une boucle de 2,4 km qui longe en partie la rivière et qui amène à des points de vue spectaculaires. 

Chute à l'ours

Il y a même un endroit avec une petite
plage où il aurait été possible de se baigner
avoir eu le nécessaire.

En plus, de paysage agréable tout le long du sentier, celui-ci est particulièrement bien aménagé.  Par endroits on y retrouve escaliers et passerelles pour faciliter la marche, l'ascension ou la descente.

Ce soir là, nous avons même eu la chance d'être témoin d'un magnifique coucher de soleil sur les chutes.  J'ai passé de nombreuses minutes à prendre plusieurs photos de l'évolution de ce ciel d'août et de ses nuances rosées. En fait, je suis restée jusqu'au moment où les moustiques ont commencé à se passer le mot sur ma présence sur les lieux 😂

Je suis sage, je n'ai choisie qu'une photo!

Desbiens

Rafting sur la Metabetchouan

Une activité qui était sur ma "wish list" pour ce voyage était le rafting.  Ça faisait un bon bout de temps que j'en avais pas fait et la température était plus qu'appropriée à ce type d'activité même si le niveau de l'eau était un peu bas.

C'est donc à Desbiens que j'ai réservé une excursion avec la compagnie H2O rafting sur la rivière Metabetchouan. Ce fut une magnifique journée! Ok, nous avons vécus quelques aventures comme rester temporairement pris à cause du bas niveau de l'eau et perdre deux passagers par dessus bord (que nous avons rapidement ramener dans le bateau grâce à nos bons réflexes et notre travail d'équipe). Mais les aventures font les meilleures souvenirs non?

En plus de la descente en zodiac, nous sommes arrêtés à un endroit pour sauter d'une falaise, nous avons eu la chance de descendre des rapides en baignade libre (sans être dans le bateau) et même de se laisser porter un peu à la nage à côté du bateau dans une section d'eau calme.  Vraiment une magnifique journée que je recommande à toute personne qui est à l'aise dans l'eau!

Parc le trou de la fée

Toujours à Desbiens, nous avons aussi visité, le lendemain de mon rafting, le Parc de la caverne "le trou de la fée. À cet endroit on retrouve un spectacle immersif, une caverne et le canyon de la rivière Métabetchouane.

Le spectacle immersif est une projection à 360⁰ directement sur le roc dans une salle de 7m de haut et de 50m de diamètre taillée directement dans le granit.  Quand même impressionnant et surtout bien frais comme endroit!

Par la suite, nous avons fait une petite randonnée avec vue sur le canyon pour nous rendre à la caverne.  

Ici aussi, c'était très frais et un peu glissant.  De bonnes chaussures sont donc de mise (les gougounes sont d'ailleurs formellement interdites). La caverne est composée de trois chambres de dimensions différentes. La première est de forme arrondie, la seconde ressemble davantage à un corridor (avis aux claustrophobes), et la dernière est de forme allongée et beaucoup plus vaste.

N'oubliez pas que tout ce qui descent,
doit éventuellement remonter!

Après la visite de la caverne, nous sommes retournés à notre point de départ en passant par une vieille conduite d'amenée d'eau, des passerelles et des ponts suspendus fixés à même le roc. Petites randonnées de quelques kilomètres encore une fois bien agréable.

Et le dodo?

Lors de ce deux journées à Desbiens, nous avons couché au camping de la plage Blanchet. Ce camping, en plus d'être très bien situé pour les deux journées d'activités que nous avons fait dans le secteur, est situé directement sur le bord du lac Saint-Jean et a des allures de voyages dans le sud.  On y retrouve une plage de sable doré et palapas. Nous avons même fait une mini baignade pour se rafraichir. Tout ce qui manque pour vraiment ce sentir dans le sud c'est le mojito et l'eau chaude 😂

Plage du camping

Jonquière

Notre dernier dodo dans la région a été réservé via le service Terego.  S'il y en a qui ne connaissent pas, il s'agit d'un organisme duquel il est possible d'obtenir un abonnement annuel permettant de coucher chez les producteurs partenaires. Il n'y a aucun frais par séjour autre que l'abonnement annuel, mais il faut être autonome car les emplacements sont sans services.

C'est donc au Domaine Cageot où nous avons effectué notre réservation. Il s'agit d'un vignoble et producteur d'alcools locaux.  L'avantage de coucher sur place quand on visite un producteur d'alcool, c'est qu'on est donc libre de prendre le forfait dégustation sans craindre de devoir reprendre la route après!  C'est clair, qu'on allait pas passer à côté de cette occasion.  Nous avons donc fait une dégustation d'alcool de petits fruits, encouragé les producteurs via quelques achats et surtout profité du décor enchanteur des lieux.

Le focus est pas top, mais j'aime la
photo avec nos bolides à l'arrière plan

Super bel endroit, où nous avons pu nous
promener entourés par les vignes

Conclusion sur une note un peu plus triste

Même presqu'un an plus tard, je garde un très très beau souvenir de ce voyage improvisé causé par une canicule du mois d'août. D'autant plus, que ce que je ne savais pas à cet époque, c'est que ce serait le dernier voyage accompagné de Georges, le conjoint de ma mère, et de son motorisé. À travers toutes les leçons de la vie, celle de profiter de chaque instant et de ne pas laisser les imprévues nous gâcher des moments est celle que je retiens le plus de ce voyage.  La canicule aura donc très bien fait les choses et aura permis d'ajouter quelques autres beaux souvenirs de road trip avec Geogeo.

Merci pour tout Geogeo! xx